Les chemins de Maison Haute
Article programmé...
Du repos et des lectures, ces derniers jours,
dont

Les chemins de Maison Haute, de Brenda Jagger
Quand Virginie, la petite-fille de Sam Barforth, se retrouve orpheline à seize ans, elle hérite d’un véritable empire industriel.
Pour préserver la fortune familiale, son grand-père l'oblige à épouser son cousin Joël, homme cynique et arriviste.
Virginie va donc connaître l'existence d'une sage épouse, astreinte à une morale qui exclut le plaisir, jusqu'au jour où elle découvre la passion avec Charles Aycliffe, dont elle devient la maîtresse.
Mais Virginie va être soumise à bien des épreuves. Aux bouleversements sociaux, à la rébellion contre le machisme, s'ajoutent les drames qu'entraîne son comportement. Joël va cependant ouvrir les yeux sur la nature exceptionnelle de sa femme, faire amende honorable et lui pardonner. Il la supplie de rester avec lui. Le choix appartient enfin à Virginie : que décidera-t-elle ?
Au-delà de la famille Barforth, c’est tout une société qui transparaît, tiraillée entre héritage du passé, et aspirations à la modernité.
Début d'une trilogie, révolution industrielle, mariages arrangés, la condition des femmes ne me semble pas enviable
malgré leurs jolies tenues, et le personnel à leur disposition...
j'ai trouvé long, parfois, mais ce roman finit bien avec une évolution dans le caractère du mari...