Mes lectures de juillet 2020/1
Longtemps que je n'ai pas parlé de mes lectures ! depuis fin juin ...
et pourtant j'ai pas mal lu !

Double amnésie, de Céline Denjean,
Qu'est ce qui a poussé la fragile Abby Le Guen à tuer son mari, Yohann, médecin respectable, d'un coup de fusil de chasse ? Pourquoi est-elle désormais murée dans le silence ?
Pourquoi Manon, jeune mère et soeur jumelle de la gendarme Eloïse est-elle harcelée par un individu qui lui reproche le pire des crimes ? Lorsque Manon est arrêtée, accusée d'infanticide, Eloïse reprend l'enquête aidée par la journaliste Amanda, car Manon maintient n'avoir aucun souvenir du crime dont on l'accuse.
Eloïse qui vient de perdre tragiquement l'homme qu'elle aime est confrontée à son histoire familiale et à celle de sa jumelle perturbée dont le chemin a croisé, pour le pire, celui des Le Guen ...
« Le jeu de piste ne fait que commencer mais sache qu'il te réserve plein de (mauvaises) surprises... »

Les cigognes ne pleurent jamais, de Cédric Charles Antoine
Misha, souviens-toi que les cigognes ne pleurent jamais, elles apportent la vie !
Je suis assise en haut de la colline qui surplombe les berges de la Volga. Le cimetière du village se dessine en arrière-plan, mon mari y est enterré depuis une semaine. Notre héros est mort. J’assiste au drame, impuissante, sous le regard innocent de mon petit garçon. Misha joue dans l’herbe, toujours joyeux, inconscient du deuil qui nous frappe.
Un autre combat s’annonce, aussi dévastateur. Ma belle-mère m’expulse de ma maison pour y installer son fils aîné. Elle m’oblige à vivre sous son toit alors que mes souvenirs sont ancrés dans ma datcha, l’écho des jours heureux y résonne encore. Je suis terrifiée par le projet de cette femme autoritaire qui fera de moi son esclave et me privera de ma légitimité parentale.
J’ai peur pour mon enfant, pour ma vie, pour notre histoire. Je ne suis qu’une simple Russe des champs, une jeune maman sans soutien, veuve à 23 ans.

Le passant de l'été, de Anne-Marie Castelain
La solitude, pour Michèle Clément, ressemble à une plage où les souvenirs des amours passées se sont donné rendez-vous. Mais les vacances, parfois, ont plus d'imagination que n'en espère une femme esseulée. Au détour d'une galerie d'art, Michèle croise le regard d'Alexandre le peintre. Et son cœur s'emballe. Quoi ? L'homme est susceptible, irascible, brutal... Qu'importe ! Car il est aussi la figure de l'amour.
J'ai beaucoup aimé le 1è livre, le 2è un peu moins,
et le dernier m'a vraiment semblé sans intérêt ! j'ai voulu aller jusqu'au bout, mais sans enthousiasme !
on ne peut pas bien "accrocher" à tous les coups !
Bonne journée à toutes et à tous, à bientôt,